Messagerie entre collaborateursÀ l’aéroport de Genève, un groupe WhatsApp graveleux déclenche deux enquêtes
Une employée, depuis licenciée, a dénoncé des images vulgaires échangées entre son chef et des collègues. Tous ont été blanchis, mais l’enquête interne est contestée.

Utiliser WhatsApp dans le cadre professionnel n’est pas anodin. Un cas survenu récemment à l’Aéroport de Genève, dénoncé par une employée, le rappelle: des images suggestives, échangées entre collègues sur un groupe de discussion, ont déclenché une procédure pénale puis une enquête interne, a appris la «Tribune de Genève». Mais leurs conclusions ont blanchi tous les participants. L’employée, elle, a été licenciée et fera recours. Genève Aéroport conteste tous ses griefs et accusations.