Après Pékin 2022À l’euphorie des JO peut succéder un sérieux coup de blues
Un grand vide, une déprime, une détresse psychique et même une vraie dépression. L’après-Jeux olympiques peut s’avérer très compliqué pour certains athlètes.

Comment Alina Paetz et les curleuses suisses vont-elles digérer leur déception olympique, elles qui ont dû se contenter de la quatrième place à Pékin?
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On dit qu’après le coït, l’animal est triste. Et il y a des dépressions post-partum. Tout se passe comme si notre cerveau n’était pas équipé pour l’extase: après l’euphorie vient la déprime. Les Jeux olympiques, cette fiesta quadriennale, causent une dysphorie semblable pour une partie des athlètes et des para-athlètes qui y participent.