Au Pays-d'Enhaut, le bois des forêts résonne
Le Bois-qui-chante mêle musique classique et théâtre à Château-D'Oex.

Il devait au départ louer les vertus du bois des forêts du Pays-d'Enhaut, celui qui fabrique les violons. Le Bois-qui-chante est aujourd'hui bien plus qu'un festival à la gloire des artisans luthiers. Sa 19e édition, qui démarre vendredi à Château-D'Oex, propose une myriade de rendez-vous musicaux sur dix jours et marie avec éclectisme théâtre et classique pour tous les âges.
Après une comédie musicale improvisée d'après les idées d'adolescents vendredi, le concert d'ouverture samedi sera rempli d'humour grâce à un «Duel avec doigté», où le pianiste Reto Reichenbach confronte son collègue Adalberto Riva. Les zygomatiques ne seront pas en reste avec la compagnie Ad'Opéra, qui interprétera de manière cocasse deux opérettes d'Offenbach pour le bicentenaire, «Une Demoiselle en loterie» et «Le 66» (ve 18). À la fromagerie le Chalet, c'est Beethoven qui renaît avec poésie grâce à la jeune troupe Cantamisù dans le spectacle «Lettre à Élise» (je 17). Du côté du Temple, le podium jeunes musiciens (di 20) accueille un véritable orchestre de Marimbas pour un concert énergique avec les élèves de la HEMU.
Le petit festival d'automne n'oublie pas ses «incontournables» avec le brunch à l'Hôtel Roc et Neige, animé par le piano et le violoncelle du Duo Sudan, suivi de son atelier orchestre (di 13), sa traditionnelle balade en forêt (sa 19) et même un clin d'œil à la Fête des Vignerons le mercredi avec une dégustation en musique au domaine viticole de Château-D'Oex.
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