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LittératureBernard Werber, des chats et des hommes

Après les fourmis, les anges et les dieux, voici les chats. Qu'est-ce qui vous fascine chez eux?

Dans le roman, les chats voient dans les attentats terroristes une espèce en train de s'autodétruire. C'est votre point de vue?

Dans «L'Empire des anges», l'un de vos personnages est l'auteur d'un roman intitulé «Les rats». Un livre boudé par les éditeurs, qui lui suggèrent de choisir pour héros les chats, «beaucoup plus appréciés du grand public». Après «Les fourmis», c'est un conseil que vous avez fini par suivre à votre tour?

Des chats nommés «Bastet» et «Pythagore», des références à l'Egypte ancienne, des leçons données selon le degré d'éveil de l'héroïne… Votre roman pourrait s'intituler «L'initiation franc-maçonne pour aristochats». C'est voulu?

C'est par le moyen d'un port USB dans le front que la maîtresse du chat «Pythagore» lui transmet du savoir. Un système bien moins plausible que la machine à traduire les mots en phéromones que vous aviez imaginée dans «Le jour des fourmis»…