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Le cœur d’un enfant décédé qui a été prélevé et transporté pour une transplantation en faveur d’un enfant gravement malade. (KEYSTONE/Gaetan Bally)
KEYSTONE
Ce n’est pas une votation facile qui attend les citoyens suisses le 15 mai prochain. Elle porte sur la vie, sur la mort, sur le consentement et finalement sur le don d’organes. Elle brasse des questions psychologiques, éthiques et pratiques autour d’une transplantation effectuée à l’origine sur une personne soudainement décédée.
Voici en résumé et en quatre points les enjeux de cette importante votation.
Pourquoi une nouvelle loi?
Parce qu’une initiative populaire favorisant le don d’organes a abouti. Les initiants demandaient que le consentement explicite pour un don soit remplacé par le consentement présumé. En clair, si une personne décède d’un accident de la route, on aurait pu prélever ses organes à moins qu’elle s’y soit opposée de son vivant.