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«De toute ma vie, avoir repris tout Brassens est ce dont je suis le plus fier»

«Au moment où je vous parle, je suis persuadé que je ne ferai pas d'autre album, glisse le chanteur de 70 ans. Mais je l'ai souvent dit, alors il ne faut pas me croire.»

Une chanson, cela s'attrape ou cela se cherche?

Est-ce que l'on gagne en confiance en soi, l'expérience aidant?

Même après avoir repris Brassens en acrobate durant cinq ans, forcé de jouer à chaque concert un répertoire choisi au hasard par le public?

Ce compagnonnage n'a pas eu d'influence sur votre écriture?

Par quelle chanson s'est présenté le nouveau disque?

Elle est toujours une amie?

Le disque s'ouvre par une question sur la venue au monde et s'achève en questionnant la mort. Vous vous demandez si l'enfance a une date limite. Quelle fut la vôtre?

Et l'arrivée du succès?

En avez-vous aussi parlé avec votre ami Julien Clerc, coach de «The Voice»?

Il signe sur le disque la musique de «Dernier soleil»…

«Brassens m'a dit un jour: il faut quand même admettre que sans sa musique, «l'Auvergnat» est un poème assez médiocre»

Les notes sont légères, le sujet grave.

Avec le succès viennent le paraître et l'image que l'on donne de soi, un thème du disque. Vous en avez souffert?

Comment considérez-vous l'implantation de l'écologie au premier rang des débats politiques?

Qu'écoutez-vous au quotidien?

Votre album présente comme toujours une patine acoustique. Avez-vous jamais joué d'une guitare électrique?

Il chante avec vous sur «Le ruisseau», qui évoque la vie qui serpente et s'en va au loin, de rives en estuaires. Il fallait la chanter avec votre fils?

Une chanson de clôture en forme de bilan de vie en duo avec votre fils. Faut-il penser qu'elle sera la dernière?