Grève du 14 juin«Des actions» mais pas de «grève» pour les femmes de droite
Trois conseillères nationales expliquent comment elles luttent, sans forcément «être dans la rue», mais en «solidarité» avec leurs collègues féminines.

En 2019, les élues fédérales montraient «l’union sacrée» pour la Grève des femmes, quel que soit le parti. La présidente d’alors du parlement fédéral, la Tessinoise Marina Carobbio (PS) (au 1er plan, veste noire et pull mauve), interrompait la séance et sortait rejoindre les manifestantes sur la Bundesplatz, entourée de nombreuses autres élues, comme la conseillère fédérale Viola Amherd (PDC) (au centre) ou la conseillère nationale Isabelle Moret (PLR) (à gauche).
KEYSTONE/Peter Klaunzer
Le symbole était fort: en 2019, la présidente d’alors du parlement fédéral, la Tessinoise Marina Carobbio (PS), interrompait la séance et sortait, entourée de nombreuses autres élues, rejoindre les manifestantes de la Grève des femmes, sur la Bundesplatz. Parmi ces parlementaires, qui arboraient les couleurs mauves ou roses de circonstances, la conseillère fédérale Viola Amherd (PDC) ou la conseillère nationale Isabelle Moret (PLR).