Alertes à la bombeMorges à nouveau la cible d’alertes dans deux établissements
Deux bombes ont été faussement signalées sur le site postobligatoire de Marcelin mais aussi en ville dans les locaux de l’Ecole de la transition. La grogne est générale.

«Y’en a marre!» «Des claques qui se perdent!» Le ton a radicalement changé en huit jours, les élèves et apprentis du gymnase et du Centre d’enseignement professionnel de Marcelin ayant perdu le sourire qui prévalait lors de la première alerte à la bombe du 22 mars.
Mardi, l’agacement le disputait à la colère quand le scénario s’est répété non seulement sur le site des hauts de Morges mais quasi simultanément en ville, là où se trouvent des classes de l’Ecole de la transition. «Nous avons indiqué aux étudiants de rejoindre le bord du lac afin de garantir leur sécurité, mais chacun savait bien que l’alerte n’en était pas une», regrette un enseignant.