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Lausanne et Servette, rivaux sur la pelouse, sont alliés sur la question de la réforme.
Pascal Muller/Freshfocus
Il y a dans le football suisse un étrange paradoxe: tous les techniciens sont d’accord pour dire la nécessité d’une réforme, mais rien ne bouge.
Tous les clubs sont conscients de la volatilité de la situation pour le football professionnel d’élite, avec un danger de relégation qui peut menacer tout le monde à part Young Boys et Bâle (donc un danger potentiel pour 80% des engagés), mais le statu quo demeure, avec dix équipes en Super League. Et si le football suisse faisait vraiment sa révolution, en commençant par le haut de sa pyramide?
Sur le tapis, une idée qui a déjà existé, sans trouver grâce ces dernières années: l’élargissement du nombre de clubs en Super League. Pourquoi ce qui a été refusé par le passé aurait plus de chances de réussir maintenant? Parce que depuis le mois de novembre, il y a un nouveau comité à la Swiss Football League. Et que ces idées de réforme vont être portées à nouveau.