Du vent dans les palmes 6/12Être ou ne pas être au cocktail Swiss Films
Il y avait de la raclette mais pas assez de temps pour aller la goûter.

On a tellement peu de temps pour caser tous les films qu’on a envie de voir à Cannes, pourquoi en perdrait-on encore en allant à des cocktails? «Tu n’es pas venu à la réception de Swiss Films. Il y avait de la raclette, pourtant»? Je sais bien, mais trop occupé pour aller encore gaspiller de précieuses minutes sur le pavillon, pourtant joli, de l’organisme officiel de notre cinématographie, au risque de croiser en prime producteurs ou cinéastes qui savent soit vous prendre de haut soit vous courtiser quand ils ont besoin de la presse. Je sais, je sais, il faudrait balancer des noms. Je préfère laisser dans le doute ceux et celles qui tomberont par hasard sur ce billet. Ils/elles sont peut-être concernés, peut-être pas.
Ailleurs dans le palais, cette affiche m’intrigue. «Swiss connections» entouré de mots-valises clichetons, sur un visuel vaguement cheap. Quelques clics suffisent à en savoir plus. Il s’agit d’une série de douze épisodes de 45 minutes ou de quatre longs-métrages de deux heures qui se déroule entre Allemagne, Suisse et Autriche. Son teaser est visible sur YouTube. Sur ce stand, on doit visiblement la vendre. Mais lors de mon passage, les responsables étaient en rendez-vous. Je suis donc reparti, j’avais projo.
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