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Blocus des ports céréaliers d’Ukraine«Éviter la mer Noire par le train est limité et complexe»

Représentant 40’000 entreprises du fret, la FIATA se réunit à Genève en pleine crise du transport maritime. Le point avec son directeur, Stéphane Graber.

Pierre-Alexandre Sallier
Stéphane Graber (1er en partant de la droite), directeur général de la FIATA et son président, Ivan Petrov (3e en partant de la droite), mardi au CICG à Genève. Regroupant plus de 40 000 entreprises, la plus grande association du secteur du transport – qui a déménagé de Zurich l’an dernier – tient cette semaine sa grande assemblée annuelle au bout du Léman.
Stéphane Graber (1er en partant de la droite), directeur général de la FIATA et son président, Ivan Petrov (3e en partant de la droite), mardi au CICG à Genève. Regroupant plus de 40 000 entreprises, la plus grande association du secteur du transport – qui a déménagé de Zurich l’an dernier – tient cette semaine sa grande assemblée annuelle au bout du Léman.
LAURENT GUIRAUD

C’est un secteur du transport international en crise qui se réunit à partir de mardi à Genève, à l’instigation de la Fédération internationale des transitaires (FIATA). Après le redémarrage chaotique ayant suivi la grande paralysie de 2020, il s’agit à présent d’affronter le blocus de la mer Noire, mais aussi Shanghaï coupé du monde ou un oligopole.

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