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Revue de presseLe 8 septembre 2002 disparaissait Georges-André Chevallaz

Le «dernier représentant du radicalisme vaudois triomphant», 87 ans, s’est éteint au CHUV après quelques jours d’hospitalisation.

Gilles Simond
En bon historien, Georges-André Chevallaz avait le sens de la durée. Il aimait planter des arbres, notamment des mélèzes, ses préférés. Photographié ici en 1986, à 71 ans, il disait «ne pas se faire trop d’illusions sur la hauteur qu’ils auront lorsque je quitterai ce monde».
En bon historien, Georges-André Chevallaz avait le sens de la durée. Il aimait planter des arbres, notamment des mélèzes, ses préférés. Photographié ici en 1986, à 71 ans, il disait «ne pas se faire trop d’illusions sur la hauteur qu’ils auront lorsque je quitterai ce monde».
GILLES SIMOND

Georges-André Chevallaz est décédé le dimanche 8 septembre 2002 au CHUV de Lausanne. Âgé de 87 ans, devenu très faible, l’ex-syndic de la capitale vaudoise (de 1958 à 1973) et ancien conseiller fédéral (de 1974 à 1983) avait été hospitalisé quelques jours auparavant.

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