COP26«Il y a des limites à l’adaptation humaine»
Présentes à Glasgow, les ONG s’inquiètent du manque d’ambition des leaders mondiaux et alertent sur l’impact sanitaire pour les populations sinistrées.

Ils émettent peu de CO₂ mais portent le fardeau écrasant des catastrophes climatiques. Les petits États insulaires ont lancé lundi un cri d’alarme à Glasgow, alors que débute le sommet des leaders mondiaux. «Nous voyons mieux que quiconque ce qui est fait à notre belle planète, résume le premier ministre du Tuvalu, Kausea Natano. L’élévation du niveau de la mer, les événements météorologiques extrêmes, le déclin des ressources marines – cela menace notre existence même.»