Inaudible, le PBD parie sur l'égérie de Marche Blanche
En se portant candidate aux prochaines élections fédérales, Christine Bussat devrait apporter au PBD la notoriété dont le parti a tant besoin pour exister en Suisse romande. Commentaire
D'abord le constat sans fard. En Suisse romande, le Parti bourgeois-démocratique (PBD) est inaudible. Pas parce que ses membres sont mauvais. Mais parce que ce jeune parti, né en 2008 à Glaris à la suite d'une scission houleuse avec l'UDC, ne compte pas un seul élu francophone sous la Coupole fédérale.