Mobilité et lutte pour le climatLa grogne monte entre rats des villes et rats des champs
Alors que les Lausannois peuvent presque se passer de voiture, les Vaudois de la campagne se sentent mal accueillis en ville avec leur véhicule.

Alors que Lausanne fait tout pour «pacifier» la ville et ne plus être engorgée par le trafic automobile comme ici à la rue Centrale dans les années 2010, les pendulaires de l’arrière-pays se sentent lésés.
Philippe Maeder/A
Le fossé va-t-il se creuser entre les Vaudois des villes et ceux des champs? En matière de mobilité, la grogne monte entre ceux qui sont obligés – ou se sentent obligés – de prendre leur voiture pour venir à Lausanne et ceux qui y habitent et ne supportent plus le trafic.