Révocation d’une enseignante genevoiseLa justice approuve le licenciement de Chloé Frammery
Pour la Chambre administrative, l’ex-fonctionnaire, révoquée en 2022, a violé à de multiples reprises ses devoirs de service. Son avocat évoque un recours possible devant le Tribunal fédéral.

Chloé Frammery, licenciée en 2022, n’a pas obtenu gain de cause dans son recours devant la Chambre administrative.
LAURENT GUIRAUD
La justice confirme le licenciement de l’enseignante Chloé Frammery. Selon un arrêt de la Chambre administrative que la «Tribune de Genève» a consulté, l’ex-fonctionnaire, révoquée en 2022, a violé à de multiples reprises ses devoirs de service «tant dans le cadre scolaire que dans celui de ses activités extraprofessionnelles.» Huit griefs sont cités à l’encontre de l’enseignante du cycle connue pour ses positions coronasceptiques et antivaccins.