Portrait de Valérie DespontLa marraine des Afghans préfère l’asile joyeux
L’enseignante d’arts visuels relie de jeunes primo-arrivants et des gens d’ici, qui les aident à trouver une place dans notre société.

L’intérieur lausannois de Valérie Despont, active dans l’association Nela pour le parrainage de jeunes issus de la migration, est un petit musée d’humanité.
Olivier Vogelsang
Valérie Despont déteste le mot «migrants», qui «réduit ces personnes à ce qu’elles ont été». Ce qui l’intéresse, c’est ce qu’elles vont devenir dans la société qui les accueille.