Fréquence cérébraleLa neurostimulation pour aider les dyslexiques
En modulant l’activité électrique de certains neurones, des neuroscientifiques de l’Université de Genève sont parvenues à améliorer la capacité à traiter les sons du langage.

La stimulation cérébrale permet de modifier le rythme des oscillations neuronales.
Silvia Marchesotti
En Suisse, on estime qu’une personne sur dix souffre de dyslexie, trouble qui transforme souvent l’apprentissage de la lecture en véritable calvaire. Au cœur du problème: le fonctionnement d’une partie du cerveau qui détériore sa capacité à traiter les sons du langage.