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Indran Amirthanayagam est né à Ceylan, devenu le Sri Lanka en 1972. Il a beaucoup écrit sur la disparition. Il évoquera ses activités de poète et de diplomate le 28 mars à Genève.
VAL LOH
Indran Amirthanayagam est poète, éditeur et diplomate. L’Américain né à Ceylan en 1960 écrit en anglais, espagnol, portugais, créole haïtien et il a publié trois recueils en français, dont «Sur l’île nostalgique» (L’Harmattan, 2020). Lorsqu’il se présente en poète, l’homme coiffe son chapeau. Il ne sait pas encore s’il le portera au Palais des Nations à Genève le 28 mars, lorsqu’il évoquera ses «deux amours joints», pour un événement du Printemps de la poésie intitulé «L’Art du texte et l’art du tact».
Même si le propos autour de la poésie et de la diplomatie fait écho à l’actualité, la soirée qui mettra en lumière les poètes diplomates Saint-John Perse, Gabriela Mistral, Elena Vacarescu, Octavio Paz ou Pablo Neruda se prépare depuis deux ans. «Nous souhaitions montrer comment les mots peuvent pacifier ou séparer, et comment la poésie se retrouve à des moments clés de l’histoire, comme à l’investiture de Joe Biden», relève Antonio Rodriguez, poète, professeur à l’UNIL et instigateur du rendez-vous printanier qui lance sa septième édition le 21 mars.