Critique inattendueL’ancien chef de l’armée torpille l’achat de 40 nouveaux avions
André Blattmann estime qu’il vaut mieux se préparer à se défendre contre des drones et des missiles de croisière.

André Blattmann, ancien chef de l’armée suisse, formule des critiques fondamentales à quelques jours de la décision du Conseil fédéral. (Photo archive). ARC Jean-Bernard Sieber
VQH
En langage militaire, cela s’appelle un friendly fire, un tir ami. Ce tir n’a rien d’amical cependant, puisque cela signifie que des soldats se font canarder par leur propre camp. C’est un peu ce qui se passe avec André Blattmann, ancien chef de l’armée suisse aujourd’hui à la retraite.