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Mystères de l’UNIL«L’Annapurna, ce n’est pas le meilleur endroit pour faire un AVC»

Jean Troillet, chez lui à La Fouly (VS). L’alpiniste a renoncé à la haute altitude après son AVC à l’Annapurna en 2011. Sa carte de visite affiche notamment dix sommets de plus de 8000 mètres.

La face ouest en style alpin

«Nous étions à 6000 m, il nous restait une longueur mais en un instant, dans ma tête, tout s’est mis à bouger. J’avais l’impression que je tournais autour de la vis à glace.»

Jean Troillet, alpiniste
Jean Troillet raconte comment, en un instant, tout s’est mis à tourner autour de lui, à 6000 m d’altitude dans la face ouest de l’Annapurna.

«Là-haut, vous n’avez qu’un tiers de l’oxygène par rapport à la plaine, vous vous arrêtez tous les 25 ou 30 pas pour reprendre votre souffle et vous sentez que votre cœur s’endort.»

Jean Troillet, alpiniste