Défis du «monde d’après» à LausanneLe réchauffement n’est (presque) plus ignoré
De gauche à droite, chaque formation a ses solutions pour la durabilité. Enjeu central pour les uns, imbriqué pour les autres.

L’après-Covid devra-t-il privilégier l’essor économique ou le défi climatique? Dans les programmes, les partis lausannois abordent ainsi le «monde d’après». Petit exercice de classement de ceux qui sont plus ou moins «chauds pour le climat».

L’UDC veut des accès
Les agrariens fustigent l’«hystérie anti-voiture». Ils veulent mettre la priorité sur la possibilité de se déplacer en ville, selon les désirs des habitants. Il faut laisser libres de mouvements les personnes à mobilité réduite, les proches aidants, les personnes âgées. S’il milite pour les transports publics gratuits le samedi et pour les activités de proximité, le parti fustige le «développement anarchique» des pistes cyclables.