L’histoire d’une passionLe témoignage des deux Marie
La Micro-Harmonie de Stéphane Pecorini a commandé une création sur la mort de Jésus vu du côté féminin. Théo Schmitt et Stéphane Blok aux manettes.

Les 55 musiciens formant la Micro-Harmonie de Stéphane Pecorini, une centaine de choristes féminines réunies par Caroline Meyer, deux solistes, une heure et demie de musique: la création «La Passion: Amours infinies, infinies amours» de Théo Schmitt et Stéphane Blok mobilise un effectif impressionnant pour une nouvelle œuvre inspirée par la Passion, à découvrir ces prochains jours à Lausanne, Genève, Le Sentier et St-Maurice. Après l’oratorio «Équinoxe» de Jérôme Berney pour le Chœur de la Cité, «Eli, Eli! Une passion» de Valentin Villard pour la Schola de Sion et la «Passion selon saint Jean» de Daniel Eisler à Gland, et avant «La Passion selon Marie» de Louis Crelier à Neuchâtel, Paris, Lausanne et Fribourg en mai-juin, cette création apporte une preuve supplémentaire de la vitalité des compositeurs de la région et de leur fascination pour la fête de Pâques.