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Votations du 25 septembreL’élevage intensif est bien parti pour sauver sa peau

En deux semaines, les avis favorables à des exigences plus strictes en matière de détention des animaux de rente ont baissé de 9%, selon le dernier sondage Tamedia.

Namya BourbanBenjamin Pillard
On voit sur cette image des poulets de plein air dans l’étable de la ferme de poulets Agasul dans le canton de Zurich. Les volailles disposent d’une surface de pâturage de 4,5 hectares à l’extérieur. Selon l’ordonnance sur les effectifs maximums (OEM), les exploitations suisses peuvent élever au maximum 18’000 poules pondeuses.
On voit sur cette image des poulets de plein air dans l’étable de la ferme de poulets Agasul dans le canton de Zurich. Les volailles disposent d’une surface de pâturage de 4,5 hectares à l’extérieur. Selon l’ordonnance sur les effectifs maximums (OEM), les exploitations suisses peuvent élever au maximum 18’000 poules pondeuses.
KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER

C’est ce qu’on appelle un renversement de situation. Lors de notre premier sondage réalisé début août, l’initiative demandant une interdiction de l’élevage intensif en Suisse recueillait 55% d’avis favorables. Notre dernier sondage mené la semaine dernière – une quinzaine de jours avant les votations fédérales du 25 septembre – prévoit désormais un «non» à 60%. Seuls 39% des sondés se prononceraient en faveur du texte, soit une baisse de 9 points en l’espace de deux semaines.

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