Grands prédateurs«Certains animaux, tétanisés, vont se précipiter du haut d’une falaise»
Lors d’une attaque de loup, se faire rembourser le prix de chaque bête tuée n’est pas suffisant pour les éleveurs. La venue du canidé sur l’alpage cause souvent des dommages collatéraux.

En septembre 2020, le loup a tué quatre chevrettes au pâturage du Perchet.
Odile Meylan
Lorsqu’un troupeau en estivage est attaqué par un grand prédateur, la valeur de chaque bête tuée est remboursée. Mais pour ce qui est des survivantes, aucune indemnisation n’est prévue. Tandis que la menace du loup plane, Prométerre et les organisations actives dans l’élevage du bétail et l’économie alpestre demandent au Canton un filet de sécurité supplémentaire.