AboVital été (24/41)Les punks, ni morts ni binaires
Rencontre avec Luna et Alec, 14 et 15 ans, qui perpétuent la crête seventies en la teintant de valeurs contemporaines.
La jeunesse lausannoise telle qu’on peut rarement la voir: Luna (à g.) et Alec, dûment coiffés.
PATRICK MARTIN
Tout comme le dodo, qui a tiré sa révérence à la fin du XVIIe siècle du côté de l’île Maurice, on pensait l’espèce des punks disparue depuis au moins la fin du règne de Guy Lux à la télévision. L’extinction s’accompagnait parfois de résurgences inopinées et quasi touristiques quand, à Piccadilly Circus, de jeunes rebelles nostalgiques se présentaient à la foule dans une flamboyance vestimentaire tirée à quatre épingles (à nourrice).
