Bien installés sur une parcelle sécurisée à proximité de la route de Berne, les Yéniches (treize personnes, dont cinq enfants, logées dans quatre caravanes) se verraient bien y bivouaquer encore un peu. «De dix à quinze jours, ce serait bien. Ça nous permettrait de souffler un peu et ça donnerait du temps supplémentaire aux autorités pour continuer à chercher une solution durable», résume Frédéric Ostertag, installé avec sa famille et ses amis sur un terrain de la Ville de Lausanne.