Procès pour violL’ex-cadre de l’EHL est acquitté au bénéfice du doute
L’homme reconnaissait un rapport consenti mais pas les accusations d’une étudiante. Il a été blanchi faute de preuves.
Dans ce procès pour viol, c’est parole contre parole, a suggéré le Ministère public.
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C’était parole contre parole. D’un côté, une étudiante boursière de l’École hôtelière de Lausanne (EHL) accusait de viols répétés avec violence un responsable de l’établissement. De l’autre, ce collaborateur lié à l’attribution des bourses admettait un rapport sexuel consenti en 2015, mais aucun abus. Le Tribunal de Vevey, qui a rendu son verdict ce jeudi en fin de journée, a jugé que les deux versions étaient aussi crédibles l’une que l’autre. En l’absence de preuves, la Cour a conclu à l’acquittement au bénéfice du doute.
