Portrait de Dominique RadrizzaniL’historien de l’art aime sortir des cases
Le directeur de BDFIL cultive une passion immodérée pour le dessin, de Léonard de Vinci à Hergé.

Il y a un peu d’impatience dans les modestes bureaux de BDFIL, au-dessus du Petit Théâtre de Lausanne. Normal, puisque l’année 2020, malgré les légers soubresauts de la culture par un «Déconfinage» à la sauce Mandryka, n’a pas été comptabilisée comme une vraie édition du festival BD.
Mais Dominique Radrizzani est un faux calme. «C’est un beau moment, comme le coup de feu dans un restaurant. Il y a une excitation de sortir ce qu’on préparait depuis longtemps.»