Accords fiscauxMichael Ambühl regrette l'échec du référendum
Le secrétaire d'Etat aux questions financières internationales regrette que les référendums contre les accords fiscaux avec l'Allemagne, la Grande- Bretagne et l'Autriche n'aient pas abouti.

C'est «dommage que nous n'ayons pas eu la possibilité de remporter une votation populaire avec nos bons arguments», déclare-t-il dans une interview parue samedi dans Finanz und Wirtschaft.
Pour le secrétaire d'Etat, l'échec des référendums montre que l'opposition aux accords n'est pas si grande que ça. Une votation populaire aurait clairement montré que les citoyens soutiennent les accords, poursuit-il dans les colonnes de l'hebdomadaire alémanique.
Le délai pour déposer les référendums a échu la semaine passée. Les opposants n'ont pas réussi à rassembler à temps le nombre de signatures nécessaires. L'Action pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN) envisage d'aller devant le Tribunal fédéral, car certaines communes, dont Genève, n'ont pas envoyé assez rapidement les signatures.
ats
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