L'offensive de Trump contre Maduro passe par Genève
Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, qui ouvre ses travaux ce lundi, est incité à mettre la pression sur Caracas.

La crise vénézuélienne va se transporter à Genève. Malgré leur retrait du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, méprisé par Donald Trump et son administration, les États-Unis manœuvrent en coulisses pour peser sur le déroulement des travaux de la 40e session, qui s'ouvre ce lundi à Genève.
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Dans leur collimateur: Nicolás Maduro, résolument accroché à son siège. Pendant quatre semaines, l'ombre de Washington va planer sur le Palais des Nations. En lien avec l'administration américaine, deux pays, l'Australie et le Royaume-Uni, vont notamment essayer de faire adopter une résolution pour dénoncer ce qui se passe au Venezuela et renforcer la légitimité du président autoproclamé Juan Guaidó.