Charles-Henri Favrod, le Vaudois qui s’est retrouvé au cœur des négociations
Le 18 mars 1962, les accords d’Evian mettent fin à un conflit qui a fait des centaines de milliers de morts
Chez lui, à Saint-Prex, Charles-Henri Favrod se remet d’une opération qui l’empêche de bien marcher. A près de 85?ans, il garde une étonnante mémoire de cette guerre d’Algérie qui s’est terminée, il y a exactement cinquante?ans, avec la signature des accords d’Evian. Rien d’étonnant. Ce grand reporter à la Gazette de Lausanne , auteur de plusieurs livres, sans oublier son rôle à la tête du Musée de l’Elysée, a favorisé des rencontres secrètes qui ont débouché sur les accords d’Evian.