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Elizabeth Maruma Mrema, secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique des Nations Unies, espère des changements radicaux et rapides pour sauver les espèces qui peuvent encore l’être.
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Une conférence internationale aux enjeux cruciaux se déroule en ce moment à Genève. Jusqu’au 29 mars, les 195 États signataires de la Convention sur la diversité biologique (CDB) des Nations Unies mènent des négociations pour tenter d’enrayer la sixième extinction de masse des espèces. Leur mission: définir le cadre d’action et les objectifs à l’horizon 2030, dans un texte qui devra être adopté cet été dans la ville chinoise de Kunming, lors de la 15e Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique (COP15). L’un des principaux objectifs est la protection d’au moins 30% des surfaces terrestres et maritimes de la planète. Elizabeth Maruma Mrema, secrétaire exécutive de la CDB, répond à nos questions.