Prostitution à Lausanne«Nous n’avons pas vocation à être tenancier de maison close»
Le municipal Pierre-Antoine Hildbrand répond aux cinq élus qui interpellent l’Exécutif sur la prostitution à Lausanne à l’heure de la crise sanitaire.

Rouvrir le débat sur la prostitution à Lausanne. Tel est le but de cinq conseillers communaux (trois Verts et deux de la gauche radicale) qui ont déposé une interpellation urgente, près deux ans après la réduction de la zone de prostitution dans le quartier de Sévelin. Les interdictions d’activités à cause de la crise sanitaire les poussent à imaginer une «maison close communale», puisque la loi cantonale autorisera bientôt une telle solution. Municipal responsable de l’Économie et de la Sécurité, Pierre-Antoine Hildbrand réagit.