«Nous sommes déjà fans de notre nouveau musée»
La première pierre du bâtiment «Un musée, deux musées », le nouvel édifice qui abritera le Musée de l'Elysée et le mudac, a été posée ce vendredi.

Sur le chantier de Plateforme 10, on aime la symbolique! Celle qui étaye l'avenir du quartier des arts, celle du soleil qui, à entendre le conseiller d'État Pascal Broulis «accompagne chaque rendez-vous sur le site, tel un bon présage».
Et… il y a encore la symbolique du calendrier signe d'une détermination sans faille. La preuve a été donnée vendredi encore avec la pose de la première pierre du bâtiment qui abritera le Mudac et l'Élysée, rendez-vous orchestré pile deux ans après le début du chantier du Musée cantonal des beaux-arts. Actif hier – l'inauguration est prévue pour octobre 2019 –, il s'est fait entendre à une ou deux reprises pendant les discours. Huit orateurs, cinq minutes chacun, tous le regard tourné vers l'avenir de cette zone culturelle. «Lien fort entre les arts et la cité, lieu de rencontre et d'échange entre les publics divers» pour la ministre de la Culture, Cesla Amarelle. Et motif de fierté pour Grégoire Junod, syndic «d'une ville qui investit et capitale d'un canton qui investit dans la culture.»
Soit en chiffres pour atteindre les 100 millions calculés pour cette deuxième étape, 40 millions pour le canton, 20 pour la ville et 40 en provenance de contributions privées. Sur ce dernier poste, la Fondation de soutien Plateforme 10 a déjà réuni 28 millions. «Soit, s'est réjouie sa présidente Catherine Labouchère, plus des deux tiers de l'objectif.» Symbolique lui aussi, dans sa traduction de la réunion de deux musées, le cube jouant l'équilibre entre deux éléments de marbre blanc, est donc lancé.
En plus d'offrir d'imposantes capacités d'exposition et de stockage aux deux institutions, le bâtiment de Francisco et Manuel Aires leur ouvre d'ambitieuses perspectives dès 2021. «Rester ce pionnier qu'a été l'Élysée pour Tatyana Franck sa directrice, afin de construire ensemble l'avenir de la photo.» Et «mettre en valeur le design suisse et international», pour Chantal Prod'Hom, directrice du Mudac. Toutes deux, «déjà fans» de leur «nouveau musée».
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