Antennes à l’enquête à Échallens«On autorise la 5G comme on a autorisé la cigarette ou l’amiante»
Spécialiste de l’électrosmog, Olivier Bodenmann explique pourquoi il s’oppose à un projet d’envergure à Échallens en particulier et à cette nouvelle technologie en général.

L’ingénieur électricien EPFL Olivier Bodenmann devant les antennes du centre collecteur d’Échallens.
PATRICK MARTIN/24HEURES
Trois opérateurs et neuf antennes doubles de téléphonie mobile, capables d’atteindre une puissance maximale de 18’000 W. C’est le projet mis à l’enquête jusqu’au 27 mars prochain au sommet du centre collecteur de céréales d’Échallens. «C’est énorme et, pour moi, c’est une première dans un village!» commente Olivier Bodenmann, spécialiste des questions d’électrosmog.