«Pouvoir offrir un autel me fait plaisir»
Piloté par Olivier Meylan, le Pully For Noise lève jeudi son 18e rideau.
Il est né voici dix-huit ans pour célébrer les 5 ans d'un club de poche, l'Abraxas, logé alors au sous-sol du refuge pulliéran des Quatre Vents, mais il doit sans doute sa survie à un projet avorté: la fusion avec son aîné de la Dolce Vita. «On rêvait de devenir «le» festival de Lausanne, se souvient Olivier Meylan, déjà directeur artistique et financier du Pully For Noise Festival. L'époque était enthousiasmante, on était porté par l'énergie, l'envie…»