«Too big to fail» a failliLe fiasco Credit Suisse éclabousse le Parti libéral-radical
La gauche rappelle que le parti a refusé de durcir les règles. L’UDC parle de «filz» PLR. Règlements de comptes en vue pour la future session spéciale.

Ciblé tant par la gauche que par l’UDC, le PLR s’est exprimé ce lundi sur Credit Suisse. De droite à gauche, Thierry Burkart, président du parti, Beat Walti, (PLR/ZH) et Olivier Feller (PLR/VD).
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«Tout ce qui avait été prévu n’a pas marché.» Dans la bouche de Gerhard Andrey (Verts/FR), la déclaration en dit long sur le fiasco de Credit Suisse. Il y a quinze ans, le Conseil fédéral et le parlement élaboraient un vaste projet visant à éviter la chute des banques systémiques. Plus qu’un rempart, cette loi des «too big to fail» n’aura été qu’un cache-sexe.