Libérer la paroleQuand Tinder vire au cauchemar
Des Romandes ont été victimes de cyberharcèlement ou d’agression sexuelle à la suite d’un «match» sur l’application de rencontre. Avec courage, elles témoignent.

Honte, culpabilité, les femmes victimes de violences sexuelles sont peu nombreuses à dénoncer les actes qu’elles ont subis. Selon une étude d'Amnesty International Suisse, seulement 8% d'entre elles ont déposé une plainte pénale.
Keystone
Cet article a été rédigé par les journalistes de «Femina». Retrouvez plus d’articles sur Femina.ch
Sur Tinder, en quelques swipes, on déniche un amoureux ou un amant de passage. Plus de 60 millions d’utilisateurs à travers le monde ont déjà succombé à ce grand jeu de l’amour. Pratique pour faire de nouvelles rencontres, particulièrement depuis qu’une pandémie mondiale frappe la planète, restreignant l’accès aux espaces de socialisation.