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Pour réduire son empreinte carbone, il vaut mieux acheter ces engins que les partager dans les villes.
LOUIZA
Quoi de plus cool que le scooter, le vélo ou la trotte électrique pour déambuler, crinière au vent, sans pétrole et attaches dans nos villes, tels des citoyens branchés et écolos de demain… Écolos, vraiment? À y regarder de près, l’empreinte carbone de ces modes de transport alternatifs n’est pas toujours si verte que ça.
Une récente étude de l’Institut pour la planification et les systèmes de transport de l’EPFZ s’est penchée sur la question et, avouons-le, les résultats ne sont pas terribles. Car il faut comprendre quel moyen de transport ces engins électriques remplacent. Les chercheurs ont analysé durant trois mois dans la région de Zurich 65’000 trajets de 540 personnes, réalisés avec huit modes de transport différents. Ils se sont aussi demandé ce qui influençait notre choix de transport (météo, distance, etc.).