C’est certain, on reparlera souvent d’Andreï Rublev
Battu par Cilic, le tout jeune Russe (17 ans) a marqué les esprits des observateurs au parc des Eaux-Vives.

Il a quelque chose en plus. On appelle ça le talent. Il est donc un peu béni par les dieux du tennis. Il a aussi quelque chose d’autre. On appelle ça l’abnégation, le goût du travail. Andreï Rublev a tout pour plaire. Une tête bien faite, un coup droit dévastateur, déjà, un service assorti, et un revers servi des deux mains, bien frappé… Et le tout à 17 ans.