Genève change de ton face à la radicalisation des jeunes
Après le choc du 13 novembre, le discours institutionnel à Genève a changé. Des projets se préparent pour lutter contre un phénomène qui n'épargne personne.

Plus question de fermer les yeux. Les massacres à Paris ont rappelé brutalement que le phénomène de radicalisation doit être traité sans tarder. En Suisse également. Au-delà des actions de sécurité, il faut agir en amont au niveau des institutions sociales, éducatives, familiales, prônait au début du mois la task force fédérale contre le terrorisme. Comment endiguer l'apparition et la diffusion de l'extrémisme violent? Genève commence à prendre la mesure du problème et à bouger.