Le retour de Sergio Ermotti à la tête d’UBS rassure. Le Tessinois connaît la banque de l’intérieur et s’entend bien avec son président irlandais, Colm Kelleher. À l’inverse de Ralph Hamers, l’actuel CEO d’UBS, qui a fait toute sa carrière aux Pays-Bas et dont on sait qu’il entretenait des relations difficiles avec son supérieur hiérarchique. Enfin, le Néerlandais est un spécialiste de la banque de détail. Il n’était sans doute pas le mieux placé pour gérer l’avenir d’une banque helvétique contrainte de stopper de toute urgence les risques dans la banque d’investissements!
Éditorial – UBS doit prendre les devants
Sergio Ermotti aurait intérêt à faire rapidement des propositions, car la pression sur l’avenir d’UBS va devenir de plus en plus importante.