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Trois membres de la Commission d’Helsinki ont pris la parole ce jeudi, lors d’une conférence de presse. Ici: Bill Browder, directeur de la campagne mondiale pour la justice Magnitsky.
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Miranda Patrucic, rédactrice en chef adjointe, Asie régionale et centrale. Elle est également membre du projet de signalement du crime organisé et de la corruption
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Mark Pieth, président du conseil d’administration.
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La Commission d’Helsinki prend pour cible la politique suisse contre les oligarques russes et les proches de Vladimir Poutine. Cet organe indépendant pour la sécurité et la coopération en Europe, financé par le Département d’État américain, reproche à la Suisse de protéger les avoirs du président russe, Vladimir Poutine, de ses proches et d’oligarques russes qui seraient déposés en Suisse.
Lors d’une conférence de presse tenue ce jeudi, la Commission d’Helsinki a affirmé que les banques helvétiques abritaient des fonds russes d’une valeur d’environ 200 milliards de dollars américains. La Suisse s’est certes ralliée aux sanctions prises par l’UE en réponse à l’invasion de l’Ukraine. Mais dans les faits, le traitement des fonds et les biens des oligarques russes en Suisse seraient problématiques.