Une boîte de sardines à 4127 m
Le 13 janvier dernier, chez lui, Benoît Violier nous racontait sa passion de la chasse en montagne, sa prudence et son goût de la vie.

Treize janvier dernier, 10 heures du matin. Benoît Violier souriait dans l'entrée du restaurant de Crissier, entouré de quelques personnes auxquelles il disait au revoir. Un rendez-vous d'affaires, important sans doute, se terminait. Poignées de main. Mots élégants. Merci. Merci. A bientôt. Bonne rentrée. Au plaisir. Benoît Violier, en cet instant-là, n'était pas cuisinier mais chef d'entreprise accueillant, rassurant, convaincant. Tellement charmant. L'apparence d'un homme indestructible à l'aise avec son rôle et sa vie.