«Toujours plus de monde dans les Bois du Jorat»
Dans le contexte du projet de parc naturel périurbain, un garde forestier tire la sonnette d’alarme
«Parc ou pas parc, il faudra bien qu’on prenne des mesures pour encadrer l’utilisation des bois du Chalet-à-Gobet. Parce que la pression humaine est croissante.» Cette phrase lâchée par le garde forestier lausannois Frédéric Bourgeois, lors d’un atelier participatif du projet de Parc naturel périurbain, nous avait interpellés. Dans le cadre du débat en cours sur le bien-fondé de ce projet, nous lui avons donc demandé de nous emmener sur le terrain pour visualiser comment se concrétisait cette pression.